De Grèce vers la Bretagne.

Changement de zone de navigation pour Amuitz qui est passé de la Grèce vers notre Atlantique traditionnel… Quelques images en vrac du bord d’Amuitz entre Preveza en Grèce, la Galice dans le golfe de Gascogne et l’arrivée en Bretagne (19 mai 23 juin). François a accepté de m’accompagner dans cette virée de 2500 milles avec au programme entre autres, la mer Ionienne, le détroit de Messine, la Sicile, la Sardaigne, l’Andalousie, le détroit de Gibraltar, l’Algarve, la remontée du Portugal avec ses fameux Alizés de nord et la Galice, dernier rdv avant de rejoindre la Bretagne. Le golfe de Gascogne a été bien musclé avec un front de SW qui nous a menés du cap Finistère jusqu’aux iles des Glénan. Stephane et Fanfan nous ont concocté la météo pour que ce convoyage se passe au mieux… ils sont venus nous rejoindre à bord. Amuitz se repose au chantier du Corniguel à Quimper.

Dernière nuit au mouillage sur le paisible Odet.
Amuitz au chantier de Corniguel de Kemper en Cornouaille.
Grèce-Bretagne printemps 2024.

GRECE 2023

Mer Ionienne…

Amuitz en Grèce.

Un peu frais pour le mois d’Avril, mais les navigations ont commencé 🙂

Voisins.

Entre les îles.

Ris.

Quelques nuages le matin…
Petite marche autour de la baie de Astakos.

Petite visite dans cette cité « île » proche du golfe de Patras…

Gros grain sur le mouillage…

Aprés la pluie, vient le beau temps…

Croyances.

Petit et joli.

Le printemps à bord.
Sauterelle.
Bombages.
Fermé…
Bord de chenal.
Activité nuageuse.
Petit restau.
Au port.
Jardinière.
Lien entre les îles.
Ithaque.
Ikurrina.
Grain.
Kayak.
Fanfan…
Tout dessus.
Pleine lune.
Fanfan à la barre.
Pas beau temps.

GRECE 2022

Chaud devant…
Des moules au Ouzo…
Amuitz qui nous surveille…
Visite à bord d’Amuitz.
Meganisi…

Amuitz retrouvé.

Après une trop longue absence nous voici ce mois de mai/juin 2021 de nouveau au près d’Amuitz en Grèce.

Une série de travaux a commencé pour remettre notre bon voilier en état de navigation. Tout va bien à bord, soleil, ciel bleu et températures clémentes.

Nous avons testé de nouveaux coins, futurs mouillages 🙂

Le pavillon « local » des marins francophones a été envoyé.

Le long séjour en chantier comporte toujours son lot de petites tracasseries techniques qu’il faut régler… La mécanique ne se fait que rarement oublier. Notre moteur Perkins a démarré au quart de tour mais c’est le refroidissement qui fait des siennes. Un coude d’échappement a rendu l’âme. La pièce de remplacement est partie de Bretagne vendredi dernier, et tarde a arriver au chantier. En attendant la liste de choses à faire diminue doucement. Le moteur Hors bord ne voulait pas démarrer… un démontage et nettoyage d’un gicleur plus tard, il ronronne comme au premier jour. C’est un Yanmar Malta 🙂

Et un peu de ponçage de coque 🙂

Amuitz vu d’en bas… les voiles à poste.

La pièce que nous attendions depuis une douzaine de jours a fini par arriver… et du coup la mécanique a retrouvé ses droits. Un grand merci à Sébastien et Stephane pour l’envoi de la pièce de dépannage. Une fois nettoyée, vérifiée et repeinte, elle a été jugée bonne pour le service et remontée sur le moteur. Nous avons lancé la Perkins et voici une fuite d’eau supplémentaire que je n’avais pas repérée… Le durit qui relie le faisceau de refroidissement était fissuré et fuyait abondamment. Problème, impossible de retrouver une pareille pièce dans le secteur. Fort heureusement le système « D » fonctionne bien et j’avais une panoplie de chambre à air de différents diamètres. Un peu dur à ajuster mais c’est fait. La fuite est contenue et le moteur ronronne… 🙂

Coude d’échappement de « secours » qui a retrouvé une nouvelle vie 🙂
Fabrication de joints sur mesure en sandwich aluminium plus joint haute température.
Découverte du durit percé ! et élaboration d’une solution de secours à base de chambre à air de voiture.
Tout est en place et fonctionne normalement…

https://youtu.be/1c-Vr0oasrc

Maille inox rivetée.

Après le travail nous prenons quelques jours en fin de semaine pour visiter le coin, ce qui nous change des points de vue maritimes… Petit tour à Lefkada.

3 heures pour nettoyer 2 winchs…
A table…

Pêcheur de Vonitsa au petit matin.

Le bon pain frais .

En annexe à la rame…

Cabotage le long des côtes grecques…
Cap sur Ithaque.
Pleine lune: mouillage dans le nord d’Itaque
Découvert à bord, notre désormais Geco d’Ithaque.
Seuls au monde…
Cascade sur l’île de Lefkada.

Eglise orthodoxe de Nidri.
Un cierge…
Mouillage venté mais de bonne tenue.
Mouillage dans le golfe Ambrassique.

Soleil et charge des batteries.
En bord de Golfe Ambrassique…
Mouillage paisible.
En remontant vers Corfou…
Mourtos avec 2 bouts à terre.

La pêche du jour…

Route moteur…

Catherine et Cristophe, deux marins bretons que l’on avait rencontrés en début de voyage en 2005 nous ont rejoint à Corfou pour une semaine de mouillages..
La cuisine au beurre…
Baignade nocturne avec éclairage…
Amuitz à la manoeuvre…
Catherine et Christophe sont repartis… sur la route !!!

Qui reconnait Amuitz?

Retour au chantier…

Traversée de la Méditerranée à bord d’un « Cocaine 38 », architecte Joubert-Nivelt.

Du sud de l’Espagne vers la Grèce, au programme de la saison 2018 à 2020.

Amuitz en Méditerranée 2018-2020.

Amuitz a quitté son port d’attache du sud de l’Espagne ou il se trouvait depuis presque deux ans.

Amuitz « Cocaine 38 » en Andalousie Mai 2018

Avec Fanfan, nous avons préparé le bateau pour une virée Méditerranéenne qui devrait nous mener d’Andalousie aux Baléares puis progressivement vers la Sardaigne, la Sicile, la Calabre et la Grèce.

A table…

L’objectif est là. Amuitz va bien, il attend juste un carénage mais pour cela il faudra atteindre les eaux grecques et trouver un chantier local ou laisser notre voilier pour l’hiver.

Sous génois, dans peu de vent. Route vers les Baléeares

Avant d’en arriver là, nous avons quitté nos amis suisses Roland et Claire ainsi que Steve qui connait la Méditerranée sur le bout de son voilier avec lequel il a écumé le moindre recoin… Ses conseils nous seront probablement précieux vu qu’en matière Méditerranéenne nous sommes toujours des débutants.

Fanfan se repose en mer.

Amuitz sous vpoiles en Mediterranée

35 heures, c’est ce qu’il nous a fallu pour rejoindre l’île de Formentera dans le sud des Baléares. 35 heures de moteur et voile avec toujours la brise Diésel présente pour couvrir les 240 milles entre les deux ports.

Reflet d’AMUITZ sur une mer d’huile…

Une petite virée tranquille, idéale presque pour une remise en selle, il manquait quand même un peu de vent.

Ciel en début de soirée, Mediterranée.

Le pilote automatique NKE a fait merveille, on compte beaucoup sur notre troisième fidèle équipier.

Début de nuit quart à la barre.

Une bonite en partant et un gros poisson qui a tout cassé juste en arrivant dans les Baléares, un bilan maigre en matière de pêche. Croisé une jolie petite tortue, des millions de méduses et des dauphins en quantité.

Fanfan qui va préparer une bonite salée.

Calme choc.

Nous avons pris une bouée dans la partie du parc maritime de Las Salinas, bouées qui sont pour le moment gratuites et deviendront payantes au premier juin.

Création d’une gaffe après la perte du bout de la notre…

Bouée sur champ de Posidonies à Formentera.

FORMENTERA. BALEARES.

Demain nous allons aller à terre, nous devons faire quelques courses et rendre visite à Gaelle, la roscovite locale.

Fanfan, Gaelle, José. A Formentera.

De Formentera nous sommes partis le 26 mai 2018 avec peu de vent et une mer qui s’est formée au fur et à mesure que l’on remontait l’archipel des Baléares vers le Nord Est.

Avant que la météo ne se gâte, nous avons trouvé le voilier « Virgen del Mar » 1957 qui était recherché semble-t-il depuis deux semaines, à 30 milles au large de Palma. Le signalement a été donné aux autorités qui ne semblaient pas prendre très au sérieux notre information…

Navigation entre Formentera et Minorque.

Ciel totalement couvert, mer hachée et brise Diésel au programme. Finalement nous sommes arrivés sur le port de Mahon dans l’île de Minorque, point recherché pour sa situation favorable pour un départ ultérieur vers la Sardaigne. Durant la nuit nous avons croisé de prés un cargo d’environ 180 mètres qui n’était pas signalé par l’AIS… comme quoi !!!

MAHON. MINORQUE. BALEARES.

Amuitz mouillé à Minoque, à Mahon.

Nous avons trouvé le mouillage de la Taulera qui est parfaitement protégé de la mer et de certains vents.

AMUITZ au mouillage de MAHON
AMUITZ et son AIS dans les eaux des Baleares.

Amuitz mouillé à Minoque, à Mahon.

Une excellente nuit de repos a été appréciée après le remuage en tous sens de la nuit dernière.

Amuitz au mouillage de Mahon à Minorque.

Le bricolage mécanique n’a  pas manqué, deux petites heures pour régler un souci de régime moteur.

La cuisine de Fanfan, toujours aussi bonne 🙂

Mardi 29 mai 2018.

Port de Mahon

Petit tour sur le port de Mahon, charmante petite bourgade huppée ou se coutoient les grands paquebots et quelques yachts de luxe mais aussi des voiliers de voyage. La saison n’a pas encore débuté, ce qui nous va bien…

Port de Mahon. Amuitz
Amuitz au port de Manon, Minorque Baleares.

Un plein de gasoil, un peu d’eau, et nous voici revenus à notre mouillage dans l’attente du départ pour la Sardaigne…

Amuitz a Mahon

Mahon

Mercredi 30 mai 2018, nous quittons le mouillage de Mahon sur l’île de Minorque au lever du jour. Une petite traversée d’environ 200 milles que nous démarrons au moteur comme d’habitude en Méditerranée…

Fort heureusement cette fois-ci Éole a été de notre côté et nous a permis de naviguer une grande partie du temps à la voile à bonne vitesse.

La pêche a été difficile car plusieurs fois la ligne a cassé à cause de la vitesse. Heureusement à l’occasion d’un court passage sans vent, nous avons pu pêcher un petit thon germon qui nous convient à merveille.

Finalement c’est sur l’île Sarde de San Pietro, dans la partie sud Ouest que nous avons terminé notre virée du jour. Une place à quai pour 24 heures, un petit tour à terre, une bière pour Fanfan « Spina » et nous voici de retour à bord, suivis par 230.000 moustiques qui, le soir tombé, s’acharnent sur tout ce qui bouge pas trop et dispose d’un peu de sang frais…

CARLOFORTE. SARDAIGNE. ITALIE.

Deux pavillons de courtoisie, le sarde et l’italien.

Pavillon sarde et italien en courtoisie.

Ce 1er juin 2018, après une nuit au calme, l’activité a repris et le va-et-vient des ferrys semble être de mise.

Carlo Forte Sardaigne.

Amuitz en pleine ville, c'est assez rare.
Amuitz en pleine ville, c’est assez rare.

Fanfan et Amuitz en Sardaigne…

Fanfan et Amuitz en Sardaigne…

Pas de pompe à carburant sur le port…

Le plein de carburant…

Anciens marées salants… Carloforte Sardaigne.

Fanfan cueille de la Salicorne sauvage.

Salicorne, nettoyage et mise en sel…

Salicorne en conserve…

Bord de mer à Carloforte Sardaigne

Carloforte Sardaigne.

Le foot…

La Juve 🙂

Un peu de bricolage à bord avec l’étau monté sur une marche de la jupe, face au vent pour éviter de trop salir…

Bricolage sur Amuitz.

Corvée d’eau…

La maison coopérative du prolétariat a Carloforte.

La maison du proletariat a Carloforte.

Parmi le projet de taxes à venir de Macron, celui du carburant…

Embarcation locale qui sert aux promenades touristiques.

Vue de Carloforte, hotel devant le port.

Au revoir la Sardaigne et rebonjour pour les étapes de nuit, deux d’affilée pour faire le tour du sud de la Sardaigne et filer vers l’Est et rejoindre une des îles les plus au large de la Sicile. Un petite île du nom de Ustica située à 30 milles au large de Palerme. Une petite île tournée vers la plongée bouteilles ou nous avons pu trouver un petit coin de quai (payant) pour y passer quelques jours, le temps que la météo nous permette de poursuivre vers Messine…

Un porte conteneurs croisé au large de la Sardaigne.

Un peu de génois tangonné, ça change…

Un petit thon, comme demandé par la patronne…

Le thon va se transformer vite fait…

Coucher de soleil entre Sardaigne et Sicile.

C’est comme ça que l’on voit apparaitre après deux jours de mer, l’île de Ustica.

Approche de Ustica en Sicile.

Approche de Ustica en Sicile.

USTICA. SICILE. ITALIE.

Le premier port sicilien sur l’île de Ustica.

Amuitz dans le petit port sicilien de Ustica.

Ustica et Amuitz

De bonnes rencontres durant les voyages… des amis catalans Quim et Joan avec qui vous avons passé une excellente soirée à bord de Amuitz…

Une soirée avec des amis navigateurs catalans du voilier « Miratge » 🙂

Joan est un spécialiste du Ginn Tonic, une préparation qu’il maitrise…

Une soirée avec des amis navigateurs catalans du voilier « Miratge » 🙂

« Miratge » reprend la mer vers Messine 🙂

On va chercher du gasoil comme on peut…

Fanfan se repose en compagnie du responsable du port et de son aide de camp…

Sur la fresque en dessous, vous aurez reconnu Amuitz dans le poisson bleu…

Fresques dans le village de Ustica, île au large de la Sicile.

De l’île de Ustica en Sicile au port de Rochela Ionica en Calabre.

L’étape de l’île de Ustica terminée, avec de la mer qui est entrée dans le petit port ouvert à l’Est Sud est, rendant le repos difficile, nous avons repris la mer toujours cap à l’Est en profitant d’une petite traine d’Ouest qui devait nous mener vers les volcans.

Un des volcans…

Le vent qui était établi et la mer qui allait avec nous a permis d’allonger la foulée mais pas assez pour arriver sur l’île de Vulcano de jour, pour y mouiller.

Trafic dans le détroit de Messine. Un Ro-ro

Finalement nous avons décidé de poursuivre et de profiter de bons vents, ce qui est une denrée rare. C’est au matin suivant que nous avons approché le détroit de Messine. Un appel VHF de la tour de contrôle du dit détroit nous a « autorisé » à emprunter la voie extérieure au DST. Des cargos en tout genre, paquebots, barges, transbordeurs et autres bateaux de pêche se croisent constamment, sans oublier les quelques voiliers de notre genre.

Trafic dans le détroit de Messine.

La descente du détroit est assez longue mais poussés par un courant et 25 noeuds de vent contraire, nous avons étalé sans encombres le détroit de Messine.

Fanfan et ses jumelles, celles du départ en juillet 2005 🙂 🙂

La remontée sur la partie gauche de la Calabre, a été moyennement appréciée.

Vent du nord en mer Ionienne.

Un très bon vent pour commencer mais à 20 milles du port de Roccela ionica, nous sommes en mer Ionienne, c’est un coup de vent de Nord qui nous accueille pour la fin de la journée.

CALABRE. ITALIE

Amuitz, pied de mât.

Finalement le vent s’est calmé et c’est en pleine nuit que nous sommes entrés dans le port, pas rassurés car les guides nautiques annoncent des fonds qui s’ensablent, ce qui est, semble-t-il de l’histoire ancienne. Des lumières de police, ambulances, des dizaines de gens dans des tenues blanches, allongées par terre, on ne comprenait pas bien ce qui se passait dans le port.

Amuitz au port de Roccela ionica en Calabre.

Des rafales de vent nous ont accueilli mais finalement avec l’aide d’un gars du port qui ne voulait parler qu’en anglais, alors que mon italien est presque parfait, no ? Les lumières c’était pour les secours d’un groupe de réfugiés syriens qui venaient d’arriver par la mer… dur dur pour eux mais semble-t-il qu’il n’y avait pas de victimes. La noria d’ambulances s’est terminée vers minuit, l’heure pour nous d’aller se reposer un peu.

Ecologiste à fond, Fanfan a entrepris ce matin de nettoyer les abords du port…

Fanfan ramasse les plastiques qui trainent dans le port…

Au fait, ici le printemps est bien arrivé…

30° à l’ombre…

Prochaine étape, direction la Grèce à quelque 200 milles toujours vers l’Est avec un peu de nord si possible…

Parcours au 10 mai 2018.

De Roccela Ionica région de Calabre (Italie) à l’île de Paxos en mer Ionienne (Grèce).

Nous avons quitté le port de Roccela Ionica mardi 12 juin 2018 au lever du soleil pour atteindre en 34 heures l’île grecque de Paxos sur la mer ionienne.

Coucher de soleil sur la route de la Grèce à bord d’Amuitz

Une courte traversée de 180 milles marquée par un manque de vent, et ce malgré les 20 à 25 noeuds annoncés par la météo…

Cargo vraquier.

Nous nous sommes rabattus sur la pêche et avons capturé deux thons qui nous ont permis de renouer avec la cuisine variée et de qualité que Fanfan parvient chaque jour à inventer avec les moyens du bord, qui sont immenses…

Le thon du jour en préparation.

Le thon du jour en préparation.

Une nuit calme, totalement étoilée et sans lune, l’idéal pour observer les astres, les satellites divers et variés et même quelques étoiles filantes toujours intéressantes à voir passer.

Pas une baleine, peu d’oiseaux à part un « moineau » au petit matin qui après avoir fait deux fois le tour d’Amuitz a préféré poursuivre sa route solitaire à plus de 40 milles de la première terre!

A.I.S chassé croisé entre cargos.

Des dauphins en revanche nous font toujours une visite, divers groupes allants d’un couple voir un solitaire a une bande d’une 50aine venus surfer sur la vague d’étrave.

Atelier réparation croks

GRECE.

L’approche de la Grèce s’est faite sans encombres, les cargos croisés ont tous respecté les distances de sécurité, comme nous le faisons également. L’A.I.S permet facilement de vérifier tout cela sans avoir à mettre en place de fastidieux calculs.

Fanfan et le pavillon Grec.

L’arrivée sur l’île de Paxos, dans une crique située tout au nord est un spectacle grandiose. Des dizaines de voiliers mouillés en tous sens, certains avec des bouts à terre, d’autres non, mais le tout dans une eau turquoise et tiède garantie…

C’est la crise, un paddle pour 4…

Amuitz parti de Aguadulce le 20 mai 2018 à mouillé son ancre par 3 mètres de fond de sable le Mercredi 13 juin 2018. Tout va bien à bord.

Premier mouillage en Grece pour Amuitz.

Ce jeudi matin nous nous sommes rapprochés du petit village de Lakka sur l’île de Paxos.

Paxos baie de Lakka.

Amuitz au mouillage de Lakka a Paxos en Grèce.

Fanfan fait des conserves de thon car nous n’arrivons à tout manger…

Conserves de thon

Conserves de thon

Conserves de thon

Quelques vues du mouillage et de l’île…

Au loin l’île de Corfou dans sa partie sud.

Amuitz au premier plan…

Des bougainvilliers qui poussent par tout et qui s’imposent…

Quand un Bougainvillier barre le passage d’entrée à une maison…

Des bougainvilliers en pagaille sur l’île…

Fanfan veut le même au Pays basque, ça va pas être facile.

Des bougainvilliers en pagaille sur l’île…

Typique, non ?

Le coin est vert… et le vert on connaît bien au Pays basque, il suffit d’arroser… 🙂

Pluies et vent au programme…

Après la pluie le beau temps…

Amuitz au mouillage… en Grèce.

Toujours dans le même secteur grec mais sur le continent, le port de Preveza ou nous avons cherché un chantier pour hiverner Amuitz.

Amuitz à Preveza, Grèce.

Cul à quai dans le port, une ancre au fond, cela devient habituel mais risqué quand le voisin qui s’en va, remonte ton ancre emmêlée et que tu n’es pas là pour remouiller… Finalement il n’y avait pas de vent et on s’en est bien tirés.

Autrement, le plein de gasoil c ‘est pas à la pompe mais un « pompiste » vient avec sa petite camionnette et voilà…

Pompiste.

Preveza c’est l’endroit pour faire son entrée officielle au Pays, même si la Grece est en Europe, c’est comme ça…

Preveza.

Opération préventive, moustiquaire…

Nous avons rencontré de drôles de coutumes, comme ces pavillons de courtoisie composés de petites culottes…

Un équipage entièrement féminin qui arbore des petites culottes en guise de pavillon de courtoisie…

Un équipage entièrement féminin qui arbore des petites culottes en guise de pavillon de courtoisie…

Nous avons été voir un peu du côté du continent, en repérage et pour changer des zones touristiques. On peut en trouver, ce qui nous rassure un peu…

A Igoumenitsa, pas de voiliers ni de plaisanciers, mais c’est bien mieux ainsi…

Amuitz a Igoumenitsa, port de commerce.

De bonnes défenses sont indispensables.

Amuitz a Igoumenitsa, port de commerce.

Igoumenitsa, port de commerce.

Igoumenitsa, port de commerce.

Igoumenitsa, port de commerce.

Notre voisin de quai…

Notre voisin de quai, le remorqueur…

Pas loin de là, une petite baie planquée avec quelques bateaux, le havre parfait loin de tout.

Petit mouillage tranquille loin de tout.

Amuitz au mouillage en Grèce.

Fin de journée le 22 juin 2018. La journée la plus longue de l’année…

Amuitz au mouillage en Grèce.

Fanfan s’est mise à la cuisine… du bon pain croustillant.

Le bon pain croustillant de Fanfan.

Corfou, île du nord de la mer Ionienne.

Fanfan, à Corfou.

Corfou, Grèce.

Nous poursuivons nos mouillages divers et variés.

Stephane et Fanfan attachent des cordages à terre.

Amuitz mouillé par l’avant et retenu par l’arrière.

Amuitz mouillé par l’avant et retenu par l’arrière.

Retour à Lakka sur l’île de Paxos avec Stéphane.

Toujours les mouillages avec amarres à terre…

Amuitz au mouillage de Paxos, Grèce.

Petite balade sur l’île.

Escale en ville à Preveza.

Escale en ville.

Quand le quai monte les bittes d’amarrage s’enfoncent…

Tout a une fin, et les vacances de Stéphane aussi… notre fiston est donc reparti, en taxi, bus, bateau, avion et voiture, rejoindre la Bretagne d’ou il était venu…

Nous revoici « seuls », l’occasion d’aller un dimanche, voir les rites locaux. Comme c’était en dehors des horaires d’ouverture, nous avons juste jeté un oeil rapide, sans prières…

du coup, la fureur du ciel ne s’est pas faite attendre et nous a envoyé aussi tôt,

de gros nuages noirs chargés de vent pour une mise en garde destinée aux mécréants…

Derrière Preveza un énorme golfe s’ouvre avec de nombreux mouillages, villages et le tout dans une tranquillité étonnante pour un mois de Juillet…

Vonitsa, Grèce. Vue depuis le château.

Vonitsa, Grèce.

Vonitsa, Grèce.

La copine de Fanfan.

De l’eau douce… et Amuitz à quai.

José se douche à grande eau…

A bord d’Amuitz nous sommes des partisans de culture locale. Fanfan ne manque jamais une vérification personnelle de la production autochtone…

Petite échoppe de vente d’Ouzo…

Le plus difficile c’est de se faire comprendre.

Après dégustation, c’est le choix…

Notre virée Méditerranéenne de 2018 est terminée. Amuitz a été mis au sec dans un chantier (voir la vidéo) ou il devrait passer l’hiver en douceur. Le printemps prochain sera l’occasion de découvrir d’autres coins de Grèce, il y en a beau coup…

Aout 2017 île Tristan et Douarnenez.

 

Petit tour à Treboul, Douarnenez et visite de l’île Tristan grâce à une marée basse et à la permission d’accéder à l’île gérée par le conservatoire du littoral. Une fois par mois tout au plus, on peut atteindre l’île à pied et se promener autour de ce haut lieu historique de la cité douarneniste. Cette année le festival du film de Douarnenez projetait un film, « Marée noire, colère rouge », de René Vautier. L’histoire tristement célèbre du naufrage et des suites de l’Amoco Cadix…

 

Copie de Bretagne Tourisme:

A quelques encablures de Douarnenez, l’île Tristan ressemble à un petit paradis secret, un confetti de terre émergeant des eaux du port. A la fois proche et lointaine, sereine et intrigante, l’île réserve de nombreuses surprises. Pour les découvrir, il faut retrouver Gilles, garde communal. Lui seul a les clés de ce havre enchanteur, propriété du Conservatoire du Littoral.

Pour rejoindre l’île Tristan, le rendez vous est donné sur le port de Tréboul. Un bateau électrique assure la liaison entre le continent et l’île. Gilles nous attend sur la digue, à l’entrée de l’ancienne sardinerie qui accueille aujourd’hui la salle d’expo du conservatoire du littoral et des agents du parc naturel marin d’Iroise. Et oui, la vaste façade entre mer et verdure abritait une des 34 conserveries qui ponctuaient le littoral. La maison de maîtres voisine était occupée par un usinier. Un site de travail plutôt étonnant !

L’activité sardinière a laissé place à des balades plus contemplatives. Gilles, qui vit ici depuis 30 ans, nous montre le chemin…et nous demande de respecter la nature. Les allées bordées de murs de pierre, de cyprès et d’ormes traversent une mosaïque de lieux et d’atmosphères, insoupçonnable du continent. Sur ce socle de granite, d’environ 7 ha, un verger a été implanté. 2 bœufs profitent de l’ombre des pommiers, poiriers et cognassiers. Au-dessus des flots, les landes d’ajoncs et de bruyères s’exposent aux embruns. Parfois, leur végétation est trouée pour mener à un blockhaus construit par les militaires allemands. Ces ouvertures rendues à la paix offrent de superbes points de vue sur la baie de Douarnenez ou sur le Menez-Hom.

Plus étonnant, ce jardin exotique ! Sur quelques mètres carrés, des plants ramenés de lointaines escales ont trouvé leur eden, bien abrité derrière de hauts murs où s’attardent quelques lézards. Crée en 1911, ce joyau botanique s’épanouit entre bambous, camélias, magnolias, myrtes du Chili, fuschias de Nouvelle-Zélande… L’histoire nous fait d’autres clins d’œil avec ce corps de garde du 19e s., remanié pour accueillir le gardien du phare, sa femme et ses 6 filles. Telles des princesses, elles disposaient d’une terrasse et de douves franchies par un pont-levis ! Au détour d’un muret ou d’un arbre majestueux, Gilles continue de distiller de croustillantes anecdotes.

Un secret demeure cependant bien gardé : un trésor aurait été caché par le Seigneur de la Fontenelle. Ce maître de guerre sanguinaire a utilisé l’île vers 1595 pour y installer ses hommes et fomenter ses pillages sur le littoral. Personne n’a retrouvé le butin accumulé. Le véritable trésor est peut-être le plaisir éprouvé en découvrant la sérénité et les beautés de l’île ! Il nous faut malgré tout quitter la magie de ces lieux ; la marée n’attend pas ! Au moment de partir, un courlis nous salue.

Texte : Annick André

Pérou et Bolivie 2009

 

Petite ballade au Pérou et en Bolivie en 2009 en compagnie de Benat et Marie Claude du voilier Lasai.

Quelques photos en vrac, entre le Pérou et la Bolivie.

Les instruments à vent des Incas.

La Paz.

Cusco.

Seuls au Machupichu…

Le chemin de l’Inca.

On tamponne les passeports…

On passe en Bolivie.

Train de luxe.

Lac Titicaca.

 

La nuit il fait froid sur le lac Titicaca.

Tour en 4×4 lacs et Salar Uyuni.

4910 mètres au dessus de notre bateau…

Hôtel construit en blocs de sel…

Le désert de sel de Uyuni.

Ville de Sucre.

Potosi.

Affichage des résultats d’examens scolaires.

 

Météo difficile entre Vanuatu et Nouvelle Calédonie.

 

Dans ce coin du Pacifique sud, il n’est pas rare qu’un fort coup de vent vous surprenne entre les îles des Fidji et la Nouvelle Calédonie.

Parfois ces ondes puissantes échappent aux prévisions météo, d’autre fois elles sont annoncées, comme le montre ce bulletin météo

capté en mer à bord d’Amuitz…

Caraïbes: San Blas taxes de mouillage prohibitives…

Aout 2015.

Une des escales les plus authentiques qui existe autour du monde se trouve dans la partie ouest de la mer des Caraïbes, dans les îles des San Blas ou Kunayala comme le nomment les indiens autochtones Kuna.

Ile des San Blas. Prise du haut du mat d'Amuitz.
Ile des San Blas. Prise du haut du mat d’Amuitz.

Faisant partie de l’état du Panama, le séjour dans les eaux de la « Comarca autonoma de Kuna Yala » se faisaient sans trop de soucis en payant une taxe symbolique de quelques 20 dollars dans l’année plus parfois des taxes locales de 10 dollars/mois dans certaines iles.

Le « Congreso General », sorte de gouvernement autonome des Kuna vient de voter très officiellement ce mois-ci, toute une batterie de mesures basées sur diverses taxes dont certaines concernent les voiliers qui passent ou séjournent dans les eaux des San Blas.

La principale mesure contraignante concerne la mise en place d’une taxe de 5 dollars par pied carré et par mois, pour tout bateau séjournant dans n’importe quel endroit de la comarca…

Taxes mouillage San Blas.
Taxes mouillage San Blas.

A été décidé en même temps que toutes les îles pourront taxer à hauteur de 10 dollars le droit de mouillage. S’ajoute à cela les 100 dollars de droits d’entrée au Panama.

Du coup le séjour au Panama, plus exactement dans les San blas les 7 mois d’une saison d’alizés coutera bombon…

Pour mémoire, lors que nous y étions entre 2008 et 2010 nous avons payé en tout moins de 80 dollars pour l’année.

Petit détail, le charter, le kite et la plongée avec bouteilles sont toujours interdits aux San Blas…

Les bons coins ou l’on reste tranquilles loin de tout se font de plus en plus rares et le vagabond globe flotteur devra disposer de plus en plus de revenus.

José Arocena.

Vénézuéla île de la Tortuga.

 

Kite et plongée à la Tortuga.

Détails techniques pour accès à la Tortuga.

L’île des flibustiers, le trésor caché du capitaine Flint, les récifs, les cartes qui ne correspondent pas avec le point GPS encore aujourd’hui (…) la Tortuga nous a accueilli durant une dizaine de jours. On vous rassure, le trésor reste toujours à découvrir…

Fanfan amuitz Venezuela ile de la Tortuga
Fanfan amuitz Venezuela ile de la Tortuga

En faisant route de La Blanquilla vers La Tortuga en compagnie de « Aquilon » nous avons été suivis à de nombreuses reprises par des dauphins.

sous spi Venezuela ile de la Tortuga
sous spi Venezuela ile de la Tortuga

Dauphins Venezuela ile de la Tortuga
Dauphins Venezuela ile de la Tortuga

La Tortuga est une petite île d’une dizaine de milles avec un lagon sous le vent et des mouillages au vent ! Peu de fonds, pour ainsi dire pas d’habitants permanents, quelques pêcheurs et une piste en terre pour recevoir la visite des gens aisés de Puerto Lacruz et de Caracas.

Fanfan piste avion Venezuela ile de la Tortuga
Fanfan piste avion Venezuela ile de la Tortuga

Ces derniers logent dans des cases en bois, un maximum d’une vingtaine de personnes durant les périodes de pointe en fin de semaine ou durant le carnaval.

Pecheur raies Venezuela ile de la Tortuga
Pecheur raies Venezuela ile de la Tortuga

Le mouillage est calme, un peu rouleur mais venté durant une grande partie de notre séjour. Particularité, la venue d’une flottille de vedettes de luxe durant le week-end du carnaval. Pas de soucis avec eux, ils ne se mêlent pas aux voiliers et restent entre eux bien au chaud !

Amuitz mouillage Venezuela ile de la Tortuga
Amuitz mouillage Venezuela ile de la Tortuga

Nous avons trouvé sur le bord de la plage magnifique, un tas d’ordures qui n’est jamais ramassé.

Rammasage ordures Venezuela ile de la Tortuga
Ramassage ordures Venezuela ile de la Tortuga

Poubelles Venezuela ile de la Tortuga
Poubelles Venezuela ile de la Tortuga.

un paquet de cigarettes venant de Suisse etc. Nous avons demandé aux gardes côtes si on pouvait faire disparaître les immondices en les brûlant. Refusé ! Le tas reste là.

La Tortuga vue du haut du mât…

Vue de haut passe Venezuela ile de la Tortuga
Vue de haut passe Venezuela ile de la Tortuga

Venezuela ile de la Tortuga
Venezuela ile de la Tortuga récif à l’entrée.

Panama, escale technique et marina.

 

Une marina au coeur de la nature, un chantier de carénage et de mise au sec avec stockage, une voilerie, mécanique, restaurant, chambres climatisées… Panamarina passe à la vitesse supérieure.

Depuis une quinzaine d’années, Panamarina est le havre pour nombre de voiliers qui font escale à Panama, sur la côte caraïbe entre les ïles des Sanblas et le canal de Panama à Colon.

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Idéalement situé et protégé, ce « spot » que nous avions déjà présenté précédemment, avec une mode d’emploi pour entrer dans la marina
Voir article, ce spot vient de renforcer son offre, répondant à une demande chaque jour plus pressante.

Désormais en plus de la marina, un chantier de mise au sec moderne est en place et opérationnel. Une cinquantaine de voiliers peuvent être mis à terre pour un carénage ou pour un stockage durant la saison des pluies.

Une remorque hydraulique très bien pensée et mise au point, permet la mise au sec des voiliers sans aucun souci. Des monocoques jusqu’à 2m de tirant d’eau et des catamarans jusqu’à une douzaine de tonnes. de quoi contenter une grande partie de la demande classique.

Un magasin d’accastillage permettant l’achat surplace du matériel nécessaire et à bon prix pour les carénages est en cours de constitution. La voilerie tenue par Alain est aussi en pleine activité. De plus ceux qui souhaitent passer quelques jours dans un bungalow climatisé le temps du carénage pour bien se reposer la nuit, trouveront surplace une offre intéressante, en plus du bar restaurant.

En clair, Panamarina propose désormais une offre complète au plaisancier de passage, excellente initiative…

Pour contacter la marina:

panamarina1@yahoo.com

Le nord de la Norvège sur Fleur de lampaul.

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Comme chaque année depuis quelque temps, le voilier Fleur de lampaul passe une partie de l’hiver dans le nord de la Norvège ou il accueille des skieurs de randonnée qui peuvent  s’adonner à leur sport favori.

Au début du printemps, le Fleur de Lampaul rentre vers ses bases de Saint Vaast la hougue en Normandie.

En chemin, nous avons eu l’occasion de découvrir notamment les superbes paysages et zones des navigation des Lofoten.

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Cap sizun, escale en Bretagne.

 

Début d’été agréable en Bretagne, dans ce coin proche du raz de Sein, entre Audierne et son port de pêche spécialisé dans le bar de ligne et la baie de Douarnenez, de l’autre côté du raz et des courants exigeants.

Une escale agréable et quelques photos finistériennes.

Penang, l’île chinoise du détroit de Malacca.

 

Située dans le nord est du détroit de Malacca en Malaisie, la vieille ville chinoise de Georges Town sur l’île de Penang vaut le détour historique.

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Ancienne possession de la compagnie des indes britannique, elle était la plaque tournante du trafic d’opium. Les anglais s’étaient spécialisés dans le trafic d’opium, ils approvisionnaient la Chine voisine malgré l’interdiction officielle… De cette manière, les navires « pirates » de la couronne très britannique sont parvenus à équilibrer la balance des paiements en barres d’argent, seule monnaie alors admise par les chinois pour le paiement du thé et de la soie.

Aujourd’hui il ne reste plus grand chose de cette époque, sauf bien entendu, le quartier chinois et les chinois, descendants des commerçants de l’époque bénie pour eux, du trafic d’Opium. L’opium qui venait par ailleurs, du sud de l’Inde.

Amuitz en Thailande.

 

Pour répondre à la demande générale, quelques photos de notre ballade en Thailande.