Aout 2017 île Tristan et Douarnenez.

 

Petit tour à Treboul, Douarnenez et visite de l’île Tristan grâce à une marée basse et à la permission d’accéder à l’île gérée par le conservatoire du littoral. Une fois par mois tout au plus, on peut atteindre l’île à pied et se promener autour de ce haut lieu historique de la cité douarneniste. Cette année le festival du film de Douarnenez projetait un film, « Marée noire, colère rouge », de René Vautier. L’histoire tristement célèbre du naufrage et des suites de l’Amoco Cadix…

 

Copie de Bretagne Tourisme:

A quelques encablures de Douarnenez, l’île Tristan ressemble à un petit paradis secret, un confetti de terre émergeant des eaux du port. A la fois proche et lointaine, sereine et intrigante, l’île réserve de nombreuses surprises. Pour les découvrir, il faut retrouver Gilles, garde communal. Lui seul a les clés de ce havre enchanteur, propriété du Conservatoire du Littoral.

Pour rejoindre l’île Tristan, le rendez vous est donné sur le port de Tréboul. Un bateau électrique assure la liaison entre le continent et l’île. Gilles nous attend sur la digue, à l’entrée de l’ancienne sardinerie qui accueille aujourd’hui la salle d’expo du conservatoire du littoral et des agents du parc naturel marin d’Iroise. Et oui, la vaste façade entre mer et verdure abritait une des 34 conserveries qui ponctuaient le littoral. La maison de maîtres voisine était occupée par un usinier. Un site de travail plutôt étonnant !

L’activité sardinière a laissé place à des balades plus contemplatives. Gilles, qui vit ici depuis 30 ans, nous montre le chemin…et nous demande de respecter la nature. Les allées bordées de murs de pierre, de cyprès et d’ormes traversent une mosaïque de lieux et d’atmosphères, insoupçonnable du continent. Sur ce socle de granite, d’environ 7 ha, un verger a été implanté. 2 bœufs profitent de l’ombre des pommiers, poiriers et cognassiers. Au-dessus des flots, les landes d’ajoncs et de bruyères s’exposent aux embruns. Parfois, leur végétation est trouée pour mener à un blockhaus construit par les militaires allemands. Ces ouvertures rendues à la paix offrent de superbes points de vue sur la baie de Douarnenez ou sur le Menez-Hom.

Plus étonnant, ce jardin exotique ! Sur quelques mètres carrés, des plants ramenés de lointaines escales ont trouvé leur eden, bien abrité derrière de hauts murs où s’attardent quelques lézards. Crée en 1911, ce joyau botanique s’épanouit entre bambous, camélias, magnolias, myrtes du Chili, fuschias de Nouvelle-Zélande… L’histoire nous fait d’autres clins d’œil avec ce corps de garde du 19e s., remanié pour accueillir le gardien du phare, sa femme et ses 6 filles. Telles des princesses, elles disposaient d’une terrasse et de douves franchies par un pont-levis ! Au détour d’un muret ou d’un arbre majestueux, Gilles continue de distiller de croustillantes anecdotes.

Un secret demeure cependant bien gardé : un trésor aurait été caché par le Seigneur de la Fontenelle. Ce maître de guerre sanguinaire a utilisé l’île vers 1595 pour y installer ses hommes et fomenter ses pillages sur le littoral. Personne n’a retrouvé le butin accumulé. Le véritable trésor est peut-être le plaisir éprouvé en découvrant la sérénité et les beautés de l’île ! Il nous faut malgré tout quitter la magie de ces lieux ; la marée n’attend pas ! Au moment de partir, un courlis nous salue.

Texte : Annick André

Pérou et Bolivie 2009

 

Petite ballade au Pérou et en Bolivie en 2009 en compagnie de Benat et Marie Claude du voilier Lasai.

Quelques photos en vrac, entre le Pérou et la Bolivie.

Les instruments à vent des Incas.

La Paz.

Cusco.

Seuls au Machupichu…

Le chemin de l’Inca.

On tamponne les passeports…

On passe en Bolivie.

Train de luxe.

Lac Titicaca.

 

La nuit il fait froid sur le lac Titicaca.

Tour en 4×4 lacs et Salar Uyuni.

4910 mètres au dessus de notre bateau…

Hôtel construit en blocs de sel…

Le désert de sel de Uyuni.

Ville de Sucre.

Potosi.

Affichage des résultats d’examens scolaires.