Lancement d’un nouveau chalutier/senneur de 70m en Norvège.

C’est le 20 mai 2015 que le Haugagut a été mis en service à Berguen en Norvège.

DSC02474

Long de 70m par 15 de large, il se déplace à 15 noeuds. Terminé en Norvège par KARSTENSENS SKIBSVAERFT sur une coque construite chez MARS en Pologne ,

IMG_0769

il est équipé des derniers matériels de pointe et a choisi Maxsea pour sa navigation, Simrad, Kaijo Denki et Furuno pour les sonars, radars et pilote automatique

DSC02495

Moteur MAN de 3600 KW et un système mixte de génératrices électriques. Un tambour de filet pélagique de 110 tonnes (…) des pompes à poisson et des dévidoirs hydrauliques le tout avec un immense triplex.

DSC02481

  • IMO: 9710907
  • Name: HAUGAGUT
  • MMSI: 257852000
  • Type: FISHING VESSEL
  • Gross Tonnage: 2250
  • Summer DWT: 2700 t
  • Build: 2014
  • Flag: NORWAY

DSC02486

José Arocena.

Le nord de la Norvège sur Fleur de lampaul.

DSC01696petit

Comme chaque année depuis quelque temps, le voilier Fleur de lampaul passe une partie de l’hiver dans le nord de la Norvège ou il accueille des skieurs de randonnée qui peuvent  s’adonner à leur sport favori.

Au début du printemps, le Fleur de Lampaul rentre vers ses bases de Saint Vaast la hougue en Normandie.

En chemin, nous avons eu l’occasion de découvrir notamment les superbes paysages et zones des navigation des Lofoten.

.IMGA0227petit

Le chalutier échoué à Ciboure a repris la mer.

Le « Cintharth » chalutier turbalais échoué le 4 mars à Ciboure a retrouvé son élément vendredi à la marée haute.

DSC01471
Photo J.Arocena

Le remorqueur portuaire de Bayonne « Balea » a pu tirer le « Cintharth » de ce mauvais pas grâce notamment à une préparation bien menée d’un « chenal » dégagé des rochers.

_w640h0b2_1425667395-20150306_141936_resized
Photo Marine Nationale

Le chalutier pélagique a été remorqué jusqu’au port de Hendaye ou il doit être mis au sec à l’aide du roulev de 300 tonnes avant d’entreprendre sa réparation.

Le chalutier Cintharth s’échoue à Ciboure.

Cinthart échoué à Ciboure
Cinthart échoué à Ciboure

Le chalutier pélagique de Saint Nazaire « Cintharth » qui rentrait de pêche au port basque de Saint Jean de Luz a raté l’entrée des passes mercredi matin 4 mars 2015 et s’est échoué sur le côté tribord des passes à Ciboure.

DSC01449

Les 6 membres d’équipage ont été hélitreuillés et sont sains et saufs, ont indiqué les autorités surplace.

Il semblerait qu’une panne de barre soit à l’origine de l’accident. Deux remorqueurs, une unité de la marine nationale et le remorqueur portuaire de Bayonne se sont déplacés pour tenter de remettre à flot le chalutier pendant l’étale de marée haute, sans succès. Le Cintharth a été poussé par les vagues encore plus en avant sur la petite plage de Ciboure.

 

Une fuite de carburant a été constatée surplace. Les avis divergent quant aux chances de renflouer le bateau de pêche, l’option de la perte totale pourrait être retenue par les experts. Dans ce cas, un découpage surplace pourrait être envisagé.

L’accès au port de Saint Jean de Luz n’est pas entravé par la présence du chalutier.

J.A

Naufrage de la vedette SNSM à la Réunion.

On retranscrit l’article publié par la SNSM St Pierre 974 concernant le naufrage de la vedette 213 fraîchement mise en service.

C’est un article que j’aurais aimé n’avoir jamais à écrire, malheureusement, les circonstances en ont décidé autrement.

Vers 10h lundi matin, la SNS 213 Cdt Rivière, auréolée de sa bénédiction 48h plus tôt, a appareillé avec sept membres d’équipage pour un remorquage de barque abandonnée et à la dérive au large de Saint-Louis. La mer était houleuse (2m/2,5m) et agitée au vent.

 

Durant la route, un des deux moteurs s’est arrêté (pourquoi, comment, les expertises le diront plus tard). L’équipage a néanmoins poursuivi sa mission, pris en remorque la barque et entamé le trajet retour sur un moteur.

Arrivés devant l’entrée du port, alors qu’ils avaient raccourci la remorque et qu’ils étaient entrants dans l’alignement, le 2e moteur s’est arrêté. Aussitôt, la remorque a été coupée et l’ancre mise a l’eau, les équipements de sauvetage vérifiés (gilets) et l’annexe préparée pour sa mise à l’eau.

Le mécanicien est descendu dans la cale pour essayer de relancer les machines tandis que le patron barreur tentait aussi de relancer depuis les commandes de pilotage. Mais la houle et le vent ont rapidement entrainé la SNS 213, devenue non manœuvrable, dans les rouleaux de la vague de la jetée. Une série plus grosse que les autres est arrivée et là, l’équipage a compris que la situation était désespérée.

« Un mur d’eau plus haut que le bateau est arrivé sur nous », raconte un des équipiers. La patron a eu juste le temps de lancer un mayday sur la VHF, avant qu’une première grosse vague ne retourne l’embarcation. Certains ont été éjectés du pont, d’autres ont réussi à se cramponner, le mécanicien dans la cale a vu l’eau s’engouffrer partout. Ceux qui était tombés à l’eau ont réussi à remonter à la surface, mais une 2e vague est venue frapper les naufragés et l’embarcation, la retournant de nouveau, la précipitant sur les rochers, et submergeant les naufragés.

 

Les membres d’équipage qui avaient réussi à rester sur l’embarcation remise d’aplomb par la vague, quoique blessés et sonnés, ont immédiatement ga

 

rdé leurs réflexes d’entraînement et observé tant bien que mal un visuel/marquage sur les trois équipiers à l’eau (qui étaient proches de la noyade, pris dans les rouleaux).

À terre, d’autres équipiers témoins du naufrage ont appareillé avec la SNS 247 Cdt Peverelly pour tenter d’aller secourir leurs collègues, mais impossible de s’approcher trop près de la zone au risque de voir la Peverelly subir le même sort. Fort heureusement, un plaisancier s’est élancé avec son zodiac et a pu atteindre et récupérer les trois sauveteurs (un grand merci à lui).

Les autres ont réussi à débarquer au milieu des rochers alors que la SNS 213 se faisait méchamment drosser. Finalement, tous nos sauveteurs bénévoles sont sains et saufs, plus ou moins contusionnés, recousus et choqués.

Grâce à leur présence d’esprit pour gérer la situation, acquise après des années d’entraînement et de sauvetage, grâce aussi à leur cohésion, et avec l’aide du plaisancier qui a porté secours, ils en sont sortis vivants.

À terre, une chaîne de solidarité s’est mise en place pour sortir la SNS 213 de sa mauvaise posture et elle a été remontée par les engins des sociétés Incana et Fontaine Service, pour être déposée à quai en début de soirée. Mais après plusieurs heures dans la houle et sur les rochers, elle est dans un sale état.

Toute la station est sous le choc, on a tous du mal à réaliser ce qui est arrivé, juste après cette magnifique cérémonie de bénédiction. Nous disons un grand merci à tous pour le soutien apporté dans ce moment difficile, et surtout, on est heureux que l’équipage soit sain et sauf.

Valérie

 

Carlotta.

Rencontrés en Avril 2014 à Langkawi alors qu’ils partaient pour la Thailande, le sympathique couple d’Italiens Michel et Valentina à bord de Carlotta, un Arpège qui a fait le grand tour depuis l’Europe jusqu’en Asie en passant par l’Atlantique, les îles des Caraïbes, le canal de Panama, la Polynésie, le Pacifique, l’Indien, et l’Asie. Rien que cela…

Carlotta est un joli Arpège qui fait bien petit à côté des gros voiliers qui forment désormais le gros de la flotte des plaisanciers.

Carlotta
Carlotta
Carlotta
Carlotta
carlotta
carlotta

Evacuation médicale au large d’Ouessant.

13/07/2014
Le 13 juillet 2014 vers 07h50, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de Corsen est alerté par le paquebot
Independance of seas qu’un de ses passagers souffre de sérieuses douleurs abdominales. Il s’agit d’un jeune britannique âgé d’une quinzaine d’années.
Le paquebot se situe à la sortie du rail d’Ouessant en route vers Gibraltar. Le CROSS lui ordonne de faire une route au sud à vitesse réduite pour ne pas s’éloigner des côtes bretonnes.

Après une conférence téléphonique entre le centre de consultation médicale maritime (CCMM) de Toulouse, le CROSS Corsen et le médecin du navire, l’évacuation médicale du malade est préconisée.

Aussitôt le CROSS Corsen déclenche l’hélicoptère de la marine nationale Caïman, de la base d’aéronautique navale de Lanvéoc.

L’hélicoptère décolle à 08h55 de l’aéroport de Quimper où il achève une précédente mission d’évacuation médicale d’un adulte à Ouessant au profit du SAMU 29. Il se dirige vers sa base pour recompléter le lot médical de l’équipe du service de santé des armées (SSA) déjà présente à bord et reconditionner l’appareil avant de rallier le paquebot. Paré à 10h15, il redécolle.

Il arrive sur zone vers 10h40 et commence les opérations de treuillage de l’adolescent, de sa mère et de sa grand-mère. L’hélicoptère quitte la zone à 11h40 pour se diriger vers l’Hôpital de la Cavale Blanche à Brest où le patient est pris en charge à 12h00.

Infos Premar Brest.

Cap sizun, escale en Bretagne.

 

Début d’été agréable en Bretagne, dans ce coin proche du raz de Sein, entre Audierne et son port de pêche spécialisé dans le bar de ligne et la baie de Douarnenez, de l’autre côté du raz et des courants exigeants.

Une escale agréable et quelques photos finistériennes.

Un chalutier d’Arcachon s’échoue sur la plage.

Le 26 juin, au petit matin, le chalutier de 14 m, Sans Spé II, immatriculé à Arcachon, s’échoue sur à côté de la pointe de ferret, côté Océan.

 

Photo Marine Nationale.
Photo Marine Nationale.

Un bout s’est pris dans l’hélice du chalutier qui a dérivé jusqu’à la côte. Les quatre membres d’équipages sont sains et sauf et le chalutier n’est pas endommagé.

Vers 06h30, le Sans-Spé II alerte le sémaphore du Cap Ferret qui prévient le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage.

Photo Marine Nationale
Photo Marine Nationale

Hier, vers 17h30 le chalutier P’tit Simon a déchéchoué le chalutier Sans SPé II. Le P’tit Simon a pris en remorque le Sans Spé II. Par mesure de sécurité, la vedette de la SNSM a accompagné le convoi jusqu’au port d’Arcachon. Les deux navires ont atteint le port d’Arcachon vers 22h00.

Amuitz avec MoraMora et Chenapan

Amuitz toujours à Langkawi en attendant de repartir pour la Thaïlande dans quelques jours.

Langkawi malaisie
Langkawi malaisie

Nous avons retrouvé le voilier « MoraMora » et Yves avec qui nous avons partagé des moments touristiques en grimpant jusqu’aux six bassins naturels avant l’arrivée des touristes.

Yves Lopinet "Mora Mora"
Yves Lopinet « Mora Mora »
Langkawi Malaisie Fanfan et José
Langkawi Malaisie Fanfan et José

Une bonne occasion pour voir de haut la mer et les mouillages de Langkawi.

Nous avons également rencontré le voilier « Chenapan » avec Mary et Claude qui écument les mouillages de la région depuis quelques saisons.

Chenapan et Amuitz
Chenapan et Amuitz

Amuitz va changer de zone de navigation prochainement…
D’ici là, si pas de nouvelles: bonnes nouvelles.

Penang, l’île chinoise du détroit de Malacca.

 

Située dans le nord est du détroit de Malacca en Malaisie, la vieille ville chinoise de Georges Town sur l’île de Penang vaut le détour historique.

P1190198

Ancienne possession de la compagnie des indes britannique, elle était la plaque tournante du trafic d’opium. Les anglais s’étaient spécialisés dans le trafic d’opium, ils approvisionnaient la Chine voisine malgré l’interdiction officielle… De cette manière, les navires « pirates » de la couronne très britannique sont parvenus à équilibrer la balance des paiements en barres d’argent, seule monnaie alors admise par les chinois pour le paiement du thé et de la soie.

Aujourd’hui il ne reste plus grand chose de cette époque, sauf bien entendu, le quartier chinois et les chinois, descendants des commerçants de l’époque bénie pour eux, du trafic d’Opium. L’opium qui venait par ailleurs, du sud de l’Inde.

Amuitz en Thailande.

 

Pour répondre à la demande générale, quelques photos de notre ballade en Thailande.