Tahoma

– Rencontrés à Cumanà au Vénézuéla en été 2006, la famille du voilier « Tahoma ». Un superbe catamaran en bois epoxy de 16,5 mètres de long par 7,50 de large, qui va vite et bien…

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A son bord Fabien et Annabel avec trois de leurs enfants, trois charmantes filles, Sybil de 16ans, Mahault de 10ans et Siegrid de 8 ans.

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Partis de France en juillet 2005 (comme Amuitz) ils ont « signé » pour deux ans de voyages, une famille très sympathique que l’on aura plaisir à rencontrer de nouveau.

Rentrés en France en été 2007.

Choultrac

De passage rapide en avarie sur Funchal en 2005 en provenance du Portugal, un Romanée de 1980, le « Choultrac » de La Rochelle.

4 gaillards bien contents d’arriver à bon port…

avec la bome cassée en deux suite à un empannage involontaire dans la brise.

Finalement un artisan de Funchal à manchonné l’espar, riveté le tout avant de le ressouder et de le repeindre !

Comme quoi, on peut avoir une réparation correcte en 24 heures.

Philippe Lajaunie, le skipper accompagné par Eric Grillier, Anthony Wagniart et par Bertrand David sont repartis mardi 23 août en fin d’aprés midi pour les Canaries ou un avion attend une partie des équipiers ! La traversée pour les Antilles étant prévue en début d’année prochaine. Une bien sympatique équipe de rochelais.

Pas de nouvelles…

Silence

Rencontrés dans les Canaries en 2005, le Shakti 133 dessiné par Eric Lerouge qui est arrivé à La Graciosa le temps d’une escale avant de repartir pour le Capvert et le Brésil en famille.

Silence
Silence

 

A bord de cette unité de 13m en strip planking nommée « Silence » Amaury et Nathalie et leurs trois enfants.

Silence
Silence

Deux jumeaux de 5 ans et demi Titouan et Malo et leur petite soeur de 4 mois Lilou Ann.

Silence
Silence

Partis de Brest pour un long voyage, ils disposent d’une unité particulièrement intéressante et rapide qui contraste agréablement avec les voiliers « traditionnels ».

Après le Brésil et le Venezuela ils sont en aout 2006 à Curaçao sur la route du Pacifique. 2007 dans le Pacifique a Tahiti.

Silence a été vendu en aout 2012 à Tahiti.

L’Hay

Rencontrés sur l’île de Graciosa aux Canaries en 2005, l’équipage du « L’Hay ».

L'Hay
L’Hay

Partis du Havre pour un long tour « no limit », Nicole et Paulo Kessedjian n’en sont pas à leur première virée atlantique.

A bord de leur côtre en acier construit de leurs mains et entièrement révisé pour l’occasion,

l'Hay
l’Hay

ils sont retournès dans les Caraïbes à la recherche de bons mouillages. A noter la présence à bord d’une excellente cave…

En septembre 2006 ils sont au port de Cumanà en pleine forme… et regrettent juste le manque de savoir vivre d’un voilier autrichien qui leur a coupè la ligne de pêche en arrivant. juin 2007 en voyage en France. Depuis ils sont au Venezuela et écument le continent sud amèricain en bus. Janvier 2008.

Tadorne

 

Depuis Porto Santo en ètè 2005, Gérard et Lydia en provenance d’Antibes sur « Tadorne » leur superbe Voyage 12.50 font partie du trio qui se suit d’un port ou d’un mouillage à l’autre !dsc_4799

 

Et à Marie Galante mai 2007..

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Tadorne était à nos côtés au mouillage de Spanish Watter en septembre 2007. Apres les San Blas, Tadorne est au Panama janvier 2008.

 

En route pour le Guatemala avril 2008. Nous l’avons laissé aux USA en Virginie en 2009. Gègè en solitaire ramène Tadorne en novembre 2009 de la baie de la Chesapeake vers les Antilles francaises ou il se trouve en  2010. Vendu depuis, Gégé et Lydia entament une nouvelle vie à terre…

 

Défi sortir du nucléaire

A Tenerife aux Canaries en 2005, l’équipage du « Défi sortir du nucléaire », composé par Alain Guillard, Jean Luc Lainé, Bruce Sibillette, Sylvain Boulay et Dimitri le Glaunec. L’arrivée est prévue à Saint Anne en Martinique et si tout va bien, la « Planche à voie » qui sera la première à rallier la Bretagne aux Antilles, sera présente au salon nautique de Paris en décembre.

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Le bateau est au mouillage de St Anne en Martinique, une partie de l’équipage est rentré en métropole. décembre 2005.

Pas de nouvelles depuis…

Tao

Rencontrés en 2005 à la Gomera aux Canaries, l’équipage de TAO un Océanis 430 qui connaît bien la route des traversées Atlantiques.

A son bord la sympathique famille Ollivier-Bienvenu qui a décidé de prendre une année sabbatique pour un tour Canaries, Caraïbes, Açores, Bretagne.

tao

Christophe, Catherine et leurs deux enfants Arnaud et Morgane qui suivent les cours du CNED nous ont retrouvés au Cap-vert.

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Aprés les Antilles,ils sont rentrés en mai 2006 route Acores puis la Normandie…Ils se sont remis au travail mais pensent beaucoup à un prochain départ…Ils ont acheté un voilier sur lequel ils naviguent en Bretagne tout en pensant à un futur départ…

Les retrouvailles sur l’eau se sont faites finalement en Bretagne en fin Août 2017 !!!

C’est à bord d’un RM 10.60 que nous avons mangé un joli thon pêché par Christophe la nuit dernière entre l’Espagne et les Glénans.

Traversée Atlantique Cap-Vert aux Caraïbes

 

Il aura dont fallu 14 jours et une poignée d’heures pour traverser l’Atlantique entre le Cap-Vert et les Caraïbes, plus exactement l’île française de la Martinique.

Nous avons modifié le parcours initial qui prévoyait une descente vers le Brésil et nous commençons par les Caraïbes, zone que nous ne connaissions pas ou presque pas.

Traversée Atlantique départ Capvert.
Traversée Atlantique départ Capvert.

Initialement nous avions prévu d’aller sur l’île de Fernando de Noronha, distante de 1400 milles du Cap-Vert, finalement nous avons rallongé cette étape en allant sur la Martinique soit 2150 milles nautiques.

Une traversée sans soucis particuliers si ce n’est que la météo était encore très perturbée au point d’être obligés de plonger vers le sud pour éviter les effets d’un ouragan « Epsilon » et d’une onde tropicale qui a « poussé » juste devant notre route au beau milieu de l’Atlantique sans prévenir, surtout hors saison !!!

Baignade en mer traversée Atlantique.
Baignade en mer traversée Atlantique.

La première semaine s’est déroulée avec du petit temps, pas d’alizés, nous avons même eu du vent contraire et du naviguer au plus prés du vent pour avancer vers la Martinique…

ntique houle.
Traversée Atlantique

La seconde semaine a été un peu plus conforme à la « normale » pour cette saison en Atlantique avec des vents de Nord Est plus ou moins soutenus mais également avec une mer forte de Nord qui venait de très loin (autre dépression) et qui nous a rendu la vie à bord un peu chaotique. Finalement les quarts de nuit et de jour se sont succédé les uns aux autres, le radar étant toujours en panne, nous nous en sommes passés et il faut bien le dire qu’au beau milieu de l’Atlantique il n’y a personne ou presque. Deux cargos en tout et pour tout en deux semaines de mer, et encore, les derniers jours.

Fanfan a réussi à faire de supers plats en mer, nous avons mangé du frais tous les jours, l’avitaillement de Mindelo au Cap-Vert a tenu le temps de la traversée, nous avons uniquement jeté deux oranges et trois bananes. Le pain précuit que nous avions embarqué aux Canaries était fort apprécié une fois passé au four et tout croustillant. Fanfan a même fait du pain à la cocotte minute, c’était superbe.

Côté pêche nous devons admettre que nos espérances ont été comblées amplement.

Dorades coriphène.
Dorade coryphène.

Nous avons pêché des dorades coryphènes de belle taille, 5 en tout car nous refusions d’en pêcher de trop pour ne pas gaspiller. Malheureusement en mer il n’y a pas que de petites dorades de 5 ou 6 kilos, il y a aussi des thasards de plusieurs dizaines de kilos… un spécimen de plus de 40 kilos a mordu à notre leurre !

Nous avons du l’accommoder en frais, en conserves, en salaison et même séché pendu à l’arrière.

Wahoo pêché durant traversée atlantique.
Wahoo pêché durant traversée atlantique.

Cette capture nous a freiné pour la suite, d’autant qu’à chaque fois les prises étaient un peu grosses.

Grosses prises.
Grosses prises.

Quoi qu’il en soit, la pêche a bien fonctionné, Amuitz est un bon bateau, on le savait et on en est désormais certains. La seconde semaine de mer nous a permis de toucher du vent en passant par dessous le 15° Nord et en rallongeant notre route directe sur les Caraïbes. En fin nous avons pu faire de belles journées et « semer » nos petits camarades qui nous suivaient, rattraper d’autres partis un jour avant etc… Le pilote automatique a joué son rôle avec grande satisfaction, un point a retenir.

L’hydro générateur de même, il nous a fourni jour et nuit tout le long des 4000 kilomètres, l’énergie douce nécessaire au bon fonctionnement du bord, associé aux panneaux solaires. L’ordinateur du bord installé par Stéphane a fonctionné de manière ininterrompue sans aucun souci et sans trop consommer d’énergie.

Nous avons utilisé toutes nos voiles ou presque, le spi a été mis a contribution a de nombreuses reprises et nous a permis de sauver des journées entière la première semaine marquée par le petit temps.

 

Sous spi nuit et jour.
Sous spi nuit et jour.

Voilà résumé en quelques lignes une traversée de l’Atlantique sans problèmes, pas de mal de mer, c’est incroyablement appréciable pour moi qui en suis atteint habituellement…

Nous sommes a l’ancre au Marin, avons retrouvé des copains qui naviguent depuis des semaines et que l’on voit de port en port mais aussi d’autres connaissances comme Stéph et Sylvania, Steph est un des préparateurs qui avait travaillé sur le projet du Vendée Globe de Didier Munduteguy au Pays basque. Lomig Henry qui travaille pour une société de location de bateaux, Lomig est notre neveu breton ! Je pressens que nous n’allons pas partir d’ici tout de suite… Il est 5h45 du matin, le jour se lève, Fanfan se réveille, nous allons prendre le petit déjeuner.

Capvert Mindelo

 

Nous sommes arrivés à Mindelo sur l’île de San Vicente pour attendre le départ, dans quelques jours, de la traversée de l’Atlantique et retrouver quelques amis comme les « TAO » ou « IRAVERA » (voir bateaux de rencontre).

Mindelo capvert José à la barre.
Mindelo capvert José à la barre.

La baie est intéressante à plusieurs titres malgré un passage obligé chez les « gardiens » d’annexe qui prennent 500 escudos par jour pour avoir le droit à la tranquillité. Le mouillage est assez venteux mais tout semble tenir correctement.

Mouillage capvert mindelo.
Mouillage capvert mindelo.

A noter encore l’attitude irresponsable de certains gros plaisanciers (gros bateaux…) qui circulent dans la baie sur des annexes motorisées par un hors bord de 50 cv à plus de 20 noœeuds entre les voiliers mouillés……